Un week-end agité
Après un week-end agité, de longues vacances s'offrent à moi...
Mais revenons un instant sur le week-end : samedi soir, une grande fête chez une amie très chère qui fêtait ses cinquante ans. Comme il y a beaucoup de musiciens dans le groupe, et de très grande qualité, ce fut une soirée à dominante musicale, surtout que cette amie a aménagé dans sa maison une vraie salle de spectacle avec scène, projos, sono et tout et tout...
Ce fut vraiment une soirée formidable, extraordinaire, où l'on chanta, mais aussi où l'on rit et but beaucoup. Je me suis couché à cinq heures du matin...
Le dimanche, lever à huit heures pour le déménagement de ma femme. J'ai travaillé comme un forçat jusqu'à vingt et une heures. Le soir, je ne tenais plus debout... Et j'avais le coeur lourd, très très lourd, quand je suis reparti vers vingt-deux heures trente de Trappes en laissant Benjamin qui pleurait sur son lit... Et que dire quand je suis arrivé dans la maison de Chenevières avec Antoine, maison désertée et à moitié vide, où les meubles disparus se dessinaient sur les murs blancs par des rectangles plus clairs ?
Heureusement, ce matin, après, enfin, une bonne nuit de sommeil, j'ai retrouvé le moral. Je vais m'efforcer aujourdhui de redonner apparence humaine à cette maison avant que je la quitte à mon tour fin août. D'ailleurs, je songe de plus en plus à y donner une grande fête avant de m'en séparer définitivement. Fidèles lecteurs, vous y serez conviés !
Ce sera l'occasion ou jamais de faire se rejoindre réalité et fiction !